🌈 Bro Gozh Ma Zadoù Traduction Breton Français

Ils’agit du « Bro Gozh Ma Zadoù » (« Vieux pays de mes pères » en breton). L’hymne breton a été crée en 1898 par Taldir Jaffrennoù de son nom bardique (François Jaffrennou de son nom à l’état civil), sur l’air de l’hymne du Pays de Galles. Le titre est d’ailleurs sensiblement le même qu’en gallois (« Vieille terre de mes pères » en gallois). Ona vu l’élu breton Paul Molac, entonner "Bro gozh ma zadoù" (Vieux pays de mes ancêtres) sur les marches du Palais Bourbon. Coup de théâtre le 22 avril, date limite de promulgation du Lhymne breton officiel, le "Bro Gozh ma zadoù" (vieux pays de mes pères), 🎶 chanté en direct par Aziliz Manrow et Gilles Servat, sur la scène de présentati Paysde Galles Bretagne. L'hymne du Pays de Galles a été écrit par Evan James et composé par son fils, James James, au milieu du XIX e siècle : Hen wlad fy nhadau (Pays de mes pères). En 1897, Fanch Jaffrennou (ou François Jaffrennou, connu aussi sous le pseudonyme de Taldir) écrit une version en breton : Bro goz ma zadou (Vieux pays de 105x 210 mm. De Bro gozh ma zadoù (hymne breton) et Pardon Speied à La blanche hermine et Loguivy de la mer, plus de 40 chansons en breton et en français qui figurent parmi les plus connues de Bretagne." Tenzor ar botkol " patrimoine chanté des frères Morvan. Kan ha diskan, gwerzioù, kanaouennoù a boz, rimoustadennoù, etc. 2002. Coop BroNaoned. Pays de Nantes. Naoned. Nantes : Gorges *** Gorj (*Monorc'h) page ouverte le 14.12.2009 : forum de discussion * forum du site Marikavel : Academia Celtica : dernière mise à jour : 16/12/2009 19:54:48. Définition: commune de la Bretagne historique, dans l'évêché de Nantes, en pays de Clisson, en sud-Loire. Aujourd'hui dans la région économique dite "Pays de Unedizaine d’intervenants venant de Lothey, mais aussi de Plonevez-du-Faou, Huelgoat ou encore Brasparts ont enchaîné des chants, poèmes, kan ha diskan et autres histoires bretonnes, en Breton et/ou Français. Une soixantaine de Lotheyens et d’habitants des alentours ont apprécié ce moment de partage de la culture bretonne durant un peu plus de 3h. A la pause, chacun a pu AGD Drapeau-Fougères : le résumé de la rencontre (1-0). Il raconte cette drôle de nouvelle en vie en attendant le retour du public au Roazhon Park. De gauche à droite : Jacques-Yves Le Touze, président du comité Bro Gozh ma Zadoù, Pierrick Massiot, Frédéric de Saint-Sernin et Lena Louarn, vice-présidente du Conseil régional de Bretagne. Regardez Rouge et Noir : Le Bro Gozh Laplus belle avenue du monde (page 13). Les commentateurs de télé et de radio n'ont cessé de nous rappeler que c'est la plus belle avenue du monde 1/ est-ce confirmé par un sondage ou une étude indiquant que c'est une opinion QtjE2GK. De nos jours, la Bretagne est surtout connue pour ses crêpes, ses galettes, ses paysages de campagne, pour ses maisons anciennes achetées par des Britanniques, voire pour son football. Mais saviez-vous que la Bretagne est surtout un ancien Royaume celte et Duché indépendant qui ne fut rattaché à la France qu’en 1532 ? La Bretagne n’est donc française que depuis 477 ans ! Tous les ans, le 19 Mai, les Bretons du monde entier fêtent “Gouel Erwan” la Saint-Yves, c’est-à-dire la fête nationale bretonne, l’équivalent de la Saint-Patrick pour les Irlandais ! Cette fête se déroulait cette année du 15 au 24 Mai, au travers de plus de 200 événements en Bretagne et ailleurs dans le monde. Mais une autre date, tout aussi importante, est de plus en plus célébrée en Bretagne, celle du 22 Novembre. C’est en effet le 22 Novembre 845, à Bains-sur-Oust, qu’eut lieu la victoire de Ballon. Le Comte de Vannes, Nominoë, infligea une cuisante défaite au roi des Francs, Charles le Chauve. La victoire remportée scella l’unité du Royaume de Bretagne et inaugura une période d’indépendance qui ne devait s’achever qu’en 1488. LA BRETAGNE ? PAS SEULEMENT LE PAYS DES CREPES ! Voici donc une excellente occasion de revenir sur ce qui a fait de la Bretagne ce qu’elle est aujourd’hui… Car de nos jours, la Bretagne est surtout connue pour ses crêpes, ses galettes, ses paysages de campagne, pour ses maisons anciennes achetées par des Britanniques, voire pour son football surtout depuis la finale de la Coupe de France de football qui opposa pour la première fois deux équipes bretonnes, Guingamp et Rennes. Mais saviez-vous que la Bretagne est surtout un ancien Royaume celte et Duché indépendant qui ne fut rattaché à la France qu’en 1532 ? La Bretagne n’est donc française que depuis 477 ans ! DES RACINES BRITANNIQUES Avant sa conquête romaine, les anciens habitants de la Grande-Bretagne, les Bretons, comprenaient de nombreux peuples et tribus celtes, en particuliers dans le sud et à l’embouchure de la Tamise. Entre le 4è et le 5è siècle, fuyant des massacres perpétrés par leurs ennemis Anglo-saxons, supérieurs en nombre, les Bretons de Grande-Bretagne passèrent la Mor Breizh Mer de Bretagne », nom qu’ils donnaient à la Manche, et que celle-ci porte d’ailleurs toujours en langue bretonne pour se réfugier dans la presqu’île armoricaine. Cet exode et le peuplement de l’Armorique par les Bretons sont des événement totalement inconnus de nos jours des Français ou des Britanniques. Tout comme est inconnu ou ignoré le fait que les Bretons nommèrent la péninsule armoricaine petite Bretagne », avant qu’elle ne devienne tout simplement Bretagne il existe encore de nos jours, à Londres, une rue se nommant Little Britain - Petite Bretagne - dans laquelle s’était autrefois établie l’Ambassade du Duché de Bretagne. Les Bretons exilés contribuèrent à la création de la langue bretonne, le Brezhoneg, qui est une langue celtique, sœur du Gallois et du Cornouaillais. Saviez-vous d’ailleurs que le Breton est beaucoup plus ancien que le Français ? Le texte plus ancien en langue bretonne date de 590, tandis que le texte le plus ancien en Français date de 843, c’est-à-dire plus de 250 ans plus tard ! UN ROYAUME INDEPENDANT Depuis leur arrivée en Armorique, les Bretons vivaient surtout en tribus et se mélangeaient avec les autochtones. Et c’est Nominoë Nevenoe en Breton, Comte de Vannes et premier Duc de Bretagne, qui créa le premier Royaume de Bretagne en 845. Un Royaume uni et indépendant, créé après que les Bretons aient vaincu l’armée du Roi de France, lors de la bataille de Ballon. Nominoë est connu depuis comme le “Père de la Nation” bretonne “Tad ar Vro”. Il fut couronné Roi de Bretagne à la Cathédrale de Dol en février 848. Alors qu’ils venaient de défaire une seconde fois l’armée française, en 851, sous le Roi Erispoë fils de Nominoë, le contrôle des villes de Rennes, Nantes et du Pays de Retz fut garanti et, par-conséquent, le Roi Charles-le-Chauve dut reconnaître l’indépendance de la Bretagne et définir sa frontière avec la France. QUAND LES FRANÇAIS ENVAHIRENT “FINALEMENT” LA BRETAGNE Les Français avaient-ils peur des Bretons ? Il fallut attendre 1488 plus de 600 ans plus tard pour que l’Armée française ne parvienne finalement à défaire l’Armée bretonne, avec l’aide de mercenaires Suisses et Italiens. Après la défaite des Bretons lors de la Bataille de Saint-Aubin-du-Cormier, le traité de Sablé dit traité du Verger » est signé par Charles VIII, Roi de France, et François II, Duc de Bretagne le 19 août 1488. Il stipule que l’héritière du Duché ne peut se marier sans l’accord du roi de France. LA COLONISATION DE LA BRETAGNE Dans son livre “La fin des terroirs. La modernisation de la France rurale”, l’historien américain Eugen Weber pointait en ces termes les conséquences de la défaite de Saint-Aubin-du-Cormier Après l’union forcée avec la France, les villes bretonnes furent envahies par des Français qui écrasèrent ou même remplacèrent les commerçants locaux, francisèrent les gens qu’ils employaient ou touchaient d’une autre façon. Les ports du roi comme Lorient ou Brest, étaient des villes de garnison en territoire étranger et le terme de colonie était fréquemment employé pour les décrire ». Les Français forcèrent donc le Duc de Bretagne François II à se soumettre à un traité donnant au Roi de France le droit de déterminer qui la fille du Duc devait épouser. La Duchesse Anne, 12 ans, était l’unique héritière du Duc et fut également la dernière souveraine indépendante du Duché. Elle fut finalement obligée d’épouser le Roi de France Louis XII. Bien qu’à sa mort, le Duché devait être transmis à sa fille, la Bretagne fut en fait incorporée dans le Royaume de France en 1532 par le Roi de France François 1er, à travers l’Edit d’Union entre la Bretagne et la France. La Bretagne devint alors un Duché colonisé, ne retenant que certains “privilèges” législation et impôts spécifiques. Pour en savoir plus sur les guerres entre la Bretagne et la France, cliquez ici… DIVISER POUR MIEUX REGNER OU LA FIN DE LA BRETAGNE INDEPENDANTE… Après l’Edit de 1532, la Bretagne conserva donc tout de même une certaine autonomie fiscale et administrative. Mais lorsque la Révolution française éclata, l’Assemblée nationale constituante unanimement proclama la fin des privilèges féodaux. Le 4 août 1789, furent abolis tous les privilèges en France. La Révolution française de 1789 marqua ainsi la perte totale d’autonomie de la Bretagne en cassant l’Edit d’Union de 1532 qui garantissait cette même autonomie. La Bretagne devint alors totalement “française” ! La Révolution française n’apporta rien de bon aux Bretons puisque, après avoir perdu leur autonomie, ils se virent imposer que leur territoire soit divisé en 5 “départements”. Sous la monarchie, les rois français ne se souciaient guère des langues minoritaires, comme le Breton. Et se sont encore une fois les révolutionnaires qui introduisirent une politique de préférence à l’égard de la langue française par rapport à ce qu’ils nommèrent “patois”. Selon eux, en effet, les monarchistes préféraient les langues régionales de manière à garder les masses populaires et paysannes mal-informées. Après la Révolution de 1789, l’histoire de la Bretagne, sa langue et sa culture furent étouffées, exterminées et extirpées des livres scolaires et des classes des écoles publiques, pour près de 200 ans. Autre exemple du déshonneur que durent subir les Bretons pendant plusieurs décennies les affiches dans les rues bretonnes aux slogans humiliants, tels que “Il est interdit de cracher dans la rue et de parler Breton !” LA CULTURE BRETONNE N’EST PAS MORTE Les Bretons ont toujours été fiers de leur terre, de leur langue et de leur culture. Et leur courage est aussi bien connu les Bretons ont beaucoup émigré partout dans le monde, à diverses époques de leur histoire. Saviez-vous par exemple que la majorité de l’armée de Guillaume le Conquérant qui envahit l’Angleterre en 1066 était en fait bretonne ? A travers l’adversité, les Bretons ont toujours gardé leurs traditions et leur culture vivantes. Cela les a d’ailleurs rendu plus fort. En 1897, François Jaffrenou écrivit l’hymne de la Bretagne, le “Bro Gozh ma Zadoù” “Vieille terre de mes ancêtres”. La musique est du Gallois James James. En 1923, Morvan Marchal créa quant à lui le drapeau de la Bretagne, le Gwenn-ha-du ce qui signifie blanc et noir en Breton. COMMENT LA FRANCE DIVISA UN PEU PLUS LA BRETAGNE… En 1941, la majorité de la France était occupée par les Nazis. Le régime de Vichy du Maréchal Pétain dictateur collaborationniste qui offrit la France à Hitler, créa les “régions” françaises. La Bretagne fut alors amputée d’1/5 de son territoire et perdit la région nantaise qui avait toujours fait part de son territoire historique. Nantes fut incorporée dans une nouvelle “région” créée pour l’occasion avec d’autre provinces historiques. Le gouvernement fasciste créa alors “Les Pays de la Loire”… Et il faut avouer qu’il paraît bien étrange que cette création pétainiste existe encore aujourd’hui ! Après 200 ans de souveraineté française, l’unité bretonne devint quelque chose du passé… à suivre… * * * * * * * “Bro Gozh ma Zadou”, par Tri Yann l’hymne national breton * * * * * * * Error 403 Guru Meditation XID 702995309 Varnish cache server Bro goz ma zadoù - Hymne de la Bretagne histoire et paroles Bro goz ma zadoù - Hymne de la Bretagne histoire et paroles - ArtOuest Bro goz ma zadoù - Bro goz ma zadoù Vieux pays de mes ancêtres est l'hymne de la Bretagne. Les paroles bretonnes sont de Taldir Jaffrenou 1879-1956, qui s'est inspiré de l'hymne national du Pays de Galles, Hen Wlad Fy Nhadau Vieille terre de mes pères, composé par le barde gallois Evan James en 1856 et mis en musique par son fils James. L'hymne de Cornouailles Bro Goth Agan Tasow en est l'homologue en cornique. La mélodie des trois chants est identique. Paroles en breton Ni, Breizhiz a galon, karomp hon gwir Vro! Brudet eo an Arvor dre ar bed tro-do. Dispont kreiz ar brezel, hon tadoù ken mad, A skuillaz eviti o gwad. Refrain O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro. Tra ma vo mor 'vel mur 'n he zro. Ra vezo digabestr ma Bro! Breizh, douar ar Sent kozh, douar ar Varzhed, N'eus bro all a garan kement 'barzh ar bed, Peb menez, ped traoñienn, d'am c'halon zo kaer, Enne kousk meur a Vreizhad taer! Refrain Ar Vretoned zo tud kalet ha kreñv; N'eus pobl ken kaloneg a zindan an neñv, Gwerz trist, son dudius a ziwan eno, O! pegen kaer ec'h out, ma Bro! Refrain Mar d'eo bet trec'het Breizh er brezellioù braz, He yezh a zo bepred ken beo ha bizkoazh, He c'halon birvidik a lamm c'hoazh'n he c'hreiz, 1/2 Bro goz ma zadoù - Hymne de la Bretagne histoire et paroles - ArtOuest Dihunet out bremañ, ma Breizh! Traduction française Nous Bretons de cœur, nous aimons notre vrai pays! L'Arvor est renommée à travers le monde. Sans peur, au cœur de la guerre, nos ancêtres si bons Versèrent leur sang pour elle. Refrain O Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays Tant que la mer comme un mur d'elle. Sois libre mon pays! Bretagne, terre des vieux Saints, et terre des Bardes, Il n'est d'autres pays au monde que j'aime autant; Chaque montagne, chaque vallée est chère dans mon cœur. En eux dorment plus d'un Breton héroïque! Refrain Les Bretons sont des gens durs et forts; Aucun peuple, sous les cieux n'est aussi ardent; Complainte triste, aux sons harmonieux s'élèvent en eux. O! Combien tu es belle, ma patrie! Refrain Si autrefois Bretagne, tu as fléchi durant les guerres, Ta langue est restée vivante à jamais, Son cœur ardent tressaille encore pour elle. Tu es réveillée maintenant ma Bretagne! 2/2

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