🩬 Aimer C Est Du DĂ©sordre Alors Aimons

1 Les choses que tu n’aimes pas ou n’utilises pas. “Le dĂ©sordre [] tire votre Ă©nergie vers le bas, et plus vous le gardez, plus il va vous affecter.”. Chaque objet que tu n’aimes ou que tu n’utilises pas fait stagner l’énergie chez toi et te ralentissent dans tes projets. Si, Ă  l’inverse, tu t’entoures uniquement de Ordreet dĂ©sordre, ce couple de mots, de contraires si l’on veut, ne cesse de produire de la limite dans l’Ɠil comme dans la cervelle. Et donc par consĂ©quence directe, dans le cƓur. Exactement comme « bien et mal », « dormir et rĂȘver ». Encore que ce dernier couple de mots demande une prĂ©cision, car vivre c’est rĂȘver. Tute sens fatiguĂ©.e, tu n’as pas envie de sortir de chez toi, tu prĂ©fĂšres rester vautrĂ©.e chez toi, si possible tout.e seul.e, en pyjama, Ă  regarder des sĂ©ries en mangeant des cochonneries toute la journĂ©e. Le dĂ©sordre t’immobilise chez toi et te prive de toute source d’énergie positive. 4. Les problĂšmes de poids. Aimer c’est du ! « Le Mur des Je T’aime » 😘 est un espace dĂ©diĂ© aux amoureux du monde entier, oĂč les mots d’amour se conjuguent dans toutes les langues ! "TIAKO IANAO" Sign Up; Log In; Messenger Parceque c’est aussi cela une des idĂ©es de ce livre, fonder une communautĂ© de lectrices et lecteurs qui dont des sparadraps du capitaine Haddock sur le bout de langue. Bref vous faire toucher du doigt, faire entrevoir, cet endroit reculĂ©, telle une clairiĂšre au milieu de la forĂȘt, de la jungle pour les plus touffus et fĂ©condes d’entre nous, en un mot accepter le dĂ©sordre (Lacan 27avr. 2015 - "Aimer c'est du Paris Montmartre. 27 avr. 2015 - "Aimer c'est du desordre..alors aimons!" Paris Montmartre. Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les rĂ©sultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flĂšches Haut et Bas pour parcourir et la touche EntrĂ©e pour sĂ©lectionner. Pour les utilisateurs d'un appareil tactile, explorez en Theres a piece of street art that says "aimer c'est du dĂ©sordrealoes aimons" with a woman in a blue dress next to it. Under the woman, a large area of the wall has been tiled with blue tiles and the word "love" is written in many different languages in white. A really bad picture of the wall The woman Explorenachisssimo's photos on Flickr. nachisssimo has uploaded 186 photos to Flickr. Exploremichael.heiss' photos on Flickr. uploaded 473 photos to Flickr. Tfzw8. Si on prend un peu la peine d’étudier les biographies des grands hommes, on remarque qu’ils sont rares Ă  avoir menĂ© une vie sereine comme tous les hommes, ils ont Ă©tĂ© blessĂ©s, et leur gĂ©nie consiste Ă  pouvoir exprimer leurs douleurs et leurs bonheurs de façon Ă  ce qu’un grand nombre de personnes s’y reconnaisse. C’est l’émotion qui est universelle, pas les sources d’inspiration. Heureusement, car c’est bien l’émotion qui rassemble les hommes dans leur diversitĂ©. L’inverse serait bien triste, uniforme et insipide. Quoi qu’il en soit, vu le tour mĂ©prisant et polĂ©mique du post d’ Aegidius, il est clair qu’ il n’ a pas trouvĂ© et ne trouvera jamais le moindre Ă©cho Ă©motionnel dans l’oeuvre de CĂ©saire, Ă©crivain et poĂšte "difficile", c’est vrai, mais dont les Ă©coliers martiniquais de toutes les couleurs parviennent toutefois Ă  retenir quelques lignes. Pour les autres qui n’ont pas la chance de le connaĂźtre ou qui l’ont oubliĂ©, pour ceux qui ont dĂ©jĂ  passĂ© un NoĂ«l antillais ailleurs que dans un piĂšge Ă  touristes, Ă  tous ceux qui n’ont pas de neige pour NoĂ«l, Ă  tous ceux qui ont des NoĂ«ls tristes et froids, Ă  tous ceux qui rĂȘvent de cocotiers, d’eau turquoise et de sable blanc et dĂ©couvrent le falaises noires, les vagues meurtriĂšres et les cyclones dĂ©vastateurs, pour tous ceux qui n’osent mĂȘme plus rĂȘver Ă  la carte postale, pour tous mes amis d’outre mer, quelle que soit la couleur et quelle que soit la mer, un petit extrait de "cahier d’un retour au pays natal". "Et le temps passait vite, trĂšs vite. PassĂ© aoĂ»t oĂč les manguiers flamboient de toutes leurs lunules, septembre l’accoucheur de cyclones, octobre le flambeur de cannes, novembre qui ronronne aux distilleries, c’était NoĂ«l qui commençait. Il s’était annoncĂ© d’abord NoĂ«l par un picotement de dĂ©sirs, une soif de tendresses neuves, un bourgeonnement de rĂȘves imprĂ©cis, puis il s’était envolĂ© tout Ă  coup dans le froufrou violet de ses grandes ailes de joie, et alors c’était parmi le bourg sa vertigineuse retombĂ©e qui Ă©clatait la vie des cases comme une grenade trop mĂ»re. NoĂ«l n’était pas comme toutes les fĂȘtes. Il n’aimait pas Ă  courir les rues, Ă  danser sur les place publiques, Ă  s’installer sur les chevaux de bois, Ă  profiter de la cohue pour pincer les femmes, Ă  lancer des feux d’artifice au front des tamariniers. Il avait l’agoraphobie, NoĂ«l. Ce qu’il lui fallait, c’était toute une journĂ©e d’affairement, d’apprĂȘts, de cuisinages, de nettoyages, d’inquiĂ©tudes, de-peur-que-ça-ne-suffise-pas, de-peur-que-ça-ne-manque, de-peur-qu’on-ne- s’embĂȘte, puis le soir une petite Ă©glise pas intimidante, qui se laissĂąt emplir bienveillammen par les rires, les chuchotis, les confidences, les dĂ©clarations amoureuses, les mĂ©disances et la cacophonie gutturale d’un chantre bien d’attaque et aussi de gais copains et de franche luronnes et des cases aux entrailles riches en succulences, et pas regardantes, et l’on s’y parque une vingtine, et la rue est dĂ©serte, et le bourg n’est plus qu’un bouquet de chants, et l’on est bien Ă  l’intĂ©rieur, et l’on en mange du bon, et l’on en boit du rĂ©jouissant et il y a du boudin, celui Ă©troit de deux doigts qui s’enroule en volubile, celui large et trapu, le bĂ©nin Ă  goĂ»t de serpolet, le violent Ă  incandescence pimentĂ©e, et du cafĂ© brĂ»lant et de l’anis sucrĂ© et du punch au lait, et le soleil liquide des rhums, et toutes sortes de bonnes choses qui vous imposent autoritairement les muqueuses ou vous les distillent en ravissements, ou vous les tissent de fragrances, et l’on rit, et l’on chante, et les refrains fusent Ă  perte de vue comme des cocotiers Alleluia Kyrie eleison... leison... leison, Christe eleison... leison... leison. Et ce ne sont pas seulement les bouches qui chantent, mais les mains, mais les pieds,mais les fesses, mais les sexes, et la crĂ©ature toute entiĂšre qui se liquĂ©fie en sons, voix et rythmes. ArrivĂ©e au sommet de son ascension, la joie crĂšve comme un nuage. Les chants ne s’arrĂȘtent pas, mais ils roulent maintenant inquiets et lourds par les vallĂ©es de la peur, les tunnels de l’angoisse et les feux de l’enfer. Et chacun se met Ă  tirer par la queue le diable le plus proche, jusqu’à ce que la peur s’abolisse insensiblement dans les fines sablures du rĂȘve, et l’on vit comme dans un rĂȘve vĂ©ritablement, et l’on boit et l’on crie et l’on chante comme dans un rĂȘve, et l’on somnole aussi comme dans un rĂȘve avec des paupiĂšres en pĂ©tale de rose, et le jour vient veloutĂ© comme une sapotille, et l’odeur de purin des cacaoyers, et les dindons qui Ă©grĂšnent leurs pustules rouges au soleil, et l’obsession des cloches, et la pluie, les cloches... la pluie... qui tintent, tintent, tintent..." Pas besoin d’ĂȘtre "nĂšgre" pour comprendre ce texte, pas mĂȘme besoin d’ĂȘtre chrĂ©tien... MĂȘme pas nĂ©cessaire de croire en un dieu. Pas besoin d’ĂȘtre lettrĂ©, instruit, diplĂŽmĂ©. Il suffit d’avoir Ă©tĂ© enfant et d’avoir vĂ©cu une seule fois une fĂȘte sincĂšre, modeste et gĂ©nĂ©reuse. Je sais qu’il existe des gens qui n’ont jamais eu cette chance. Aussi, pourquoi au lieu de se barricader dans l’amertume et la dĂ©fiance, ne dĂ©cident -ils pas d’offrir aux autres ce qu’ils n’ont jamais eu ? Sont-ils Ă  ce point brisĂ©s que le seul courage qui leur reste est celui d’agresser ce qui pourrait les questionner, les destabiliser, bref, les Ă©mouvoir ? Salut l’artiste. Tiens ben rĂšd. Reading list Nous avons sĂ©lectionnĂ© pour vous 10 livres que nous vous recommandons pour prĂ©parer 2021, annĂ©e de reconstruction, de rĂ©invention et de rĂ©silience, mais de frugalitĂ© aussi dans nos façons de consommer, de produire, d’innover, d’orchestrer. De solitude peut ĂȘtre, avec l’installation du tĂ©lĂ©travail dans nos modes de vie, mais surtout d’agilitĂ© dans un dĂ©sordre qui semble prendre le pas 
 Bonne lecture ! Grow the Pie How Great Companies Deliver Both Purpose and Profit VoilĂ  l’un des 10 meilleurs livres de 2020 selon le Financial Times. Edmans pose son Ă©quation ĂȘtre responsable ce n’est pas sacrifier ses profits pour le bien du plus grand nombre. Il n’oppose pas, au contraire il combine la prospĂ©ritĂ© ne vise pas directement le profit, mais se base sur une ambition, le dĂ©sir de rĂ©pondre Ă  un besoin sociĂ©tal et de contribuer Ă  l’amĂ©lioration de tous. A ne pas manquer ! Conscious Leadership Elevating Humanity Through Business de John Mackey, Steven MacIntosh et Carter Phipps Portfolio, septembre 2020 Alors en deux mots, Mackey, patron de WholeFood et co-auteur avec Raj Sisoda de Conscious Capitalism », nous sert un nouvel opus qui en prend la suite. Ou, au-delĂ  d’une vision pour une entreprise durable, quelles sont les caractĂ©ristiques d’un leadership innovant qui ont guidĂ© son parcours avec une feuille de route basĂ©e sur la crĂ©ation de valeur, pour tous. Uncharted de Margaret Hefferman Simon & Schuster, septembre 2020 Et un autre Financial Times Best Book of the Year ! Comment penser le futur ? Que devons-nous faire – et qui devons-nous ĂȘtre ? Hefferman, serial entrepreneur et TED speaker, nous raconte des personnes et des organisations qui ne sont pas intimidĂ©es par l’incertitude, et dĂ©crit comment, alors que nous sommes accros aux prĂ©dictions, aller de l’avant en territoire inconnu avec agilitĂ©. No Rules Netflix and the Culture of Reinvention de Reed Hastings & Erin Meyer Penguin Press, septembre 2020 Le cofondateur de Netflix, Reed Hastings, raconte la culture peu orthodoxe derriĂšre l’une des entreprises les plus innovantes, imaginatives et prospĂšres au monde une flexibilitĂ© sans prĂ©cĂ©dent, impossible sans des principes de gestion contre-intuitifs, un rejet des conventions et de la tradition pour construire une culture axĂ©e sur la libertĂ© et la responsabilitĂ©. A ne pas rater non plus ! Too Much Information Understanding What You Don’t Want to Know de Cass Sunstein MIT Press, septembre 2020 Avons-nous besoin de tout savoir ? De nos gaver d’informations Ă  longueur de journĂ©e ? De maĂźtriser notre prĂ©disposition gĂ©nĂ©tique Ă  une maladie ? Nous parlons du droit de savoir, mais avons-nous conscience de l’impact de trop d’information sur la qualitĂ© de notre vie, Ă  long terme ? Comment rester lucide entre ce droit de savoir et le besoin de clartĂ© sur l’impact de ce trop-plein d’infos ? Do Good At Work How Simple Acts of Social Purpose Drive Success and Wellbeing de Bea Boccalandro Morgan James Publishing, novembre 2020 C’est l’un de nos chouchous de l’annĂ©e. Ou comment le sens, l’envie, la grandeur, la bienveillance, la dĂ©termination que vous mettez dans vos petits actes au quotidien transforme la dimension de votre job et celui de ceux qui vous entourent. Et comment ainsi lutter contre le bullshit-jobisme » qui rend au contraire les gens lĂ©thargiques, dĂ©sengagĂ©s, imprudents, dĂ©loyaux, et malheureux. The Practice Shipping Creative Works de Seth Godin Portfolio Penguin, novembre 2020 Le blocage de l’écrivain est un mythe, la cohĂ©rence est plus importante que l’authenticitĂ©, et le syndrome de l’imposteur est un signe que vous ĂȘtes un humain en clair pour Godin, ce qui distingue les grands innovateurs, ce n’est pas tant la crĂ©ativitĂ© de leurs idĂ©es que la cohĂ©rence de leur exĂ©cution. Alors comment transformer votre passion qui reste privĂ©e en une contribution Ă  partager ? The Innovation Delusion How Our Obsession with the New Has Disrupted the Work That Matters Most de Lee Vinsel et Andrew Russel Currency, septembre 2020 L’innovation sous toutes ses formes est le buzzword le plus chaud. Mais Ă  courir aprĂšs l’innovation Ă  tout prix n’aurions-nous pas oubliĂ© quelque chose d’autant, voire plus crĂ©ateur de valeur encore ? L’entretien, la maintenance, la rĂ©paration, qui rĂ©pondent Ă  la fois Ă  des aspirations de crĂ©ation de valeur, de responsabilitĂ© comme de mise en lumiĂšre de mĂ©tiers qui sont loin des bullshit jobs. Out of My Skull The Psychology of Boredom de James Danckert et John Eastwood Harvard University Press, juin 2020 Personne n’aime s’ennuyer. Du coup nous avons tendance Ă  nous agiter pour Ă©viter que la peur du vide ne s’installe, confondant ainsi agitation, distraction et efficacitĂ©. Nous devons bannir l’ennui Ă  tout prix. Or il a son rĂŽle Ă  jouer il est source d’ancrage, de concentration et d’énergie pour changer, mais encore faut-il comprendre comment il apparait, et ce qu’il a Ă  nous raconter. A relire Messy The Power of Disorder to Transform Our Lives de Tim Harford Little, Brown Book Group, octobre 2016 L’ordre donne une illusion de contrĂŽle mais sape votre crĂ©ativitĂ©, votre agilitĂ© et celles de vos Ă©quipes. Peu d’individus sont prĂȘts Ă  prendre un chemin chaotique si une approche plus organisĂ©e, prĂ©parĂ©e et coordonnĂ©e semble permettre d’atteindre l’objectif », explique Tim Harford, Ă©conomiste anglais., pour qui le dĂ©sordre est source de crĂ©ativitĂ© et de rĂ©silience collectives. © Copyright Business Digest - Tout droit rĂ©servĂ© PubliĂ© par Françoise Tollet Elle a passĂ© 12 ans dans l’industrie entre autres chez BollorĂ© Technologies. Elle dirige Business Digest depuis 1998, sociĂ©tĂ© qu’elle a cofondĂ©e en 1992 et dont elle a dĂ©cidĂ© du big move vers Internet dĂšs 1996
 avant mĂȘme d’en rejoindre l’équipe. DÉMOGRAPHIE La population française a, malgrĂ© les guerres, augmentĂ© de 2 400 000 personnes, passant de 27 000 000 en 1789 Ă  29 400 000 en 1815, soit un accroissement de 9% en 26 ans. La population française resta la plus Ă©levĂ©e d'Europe jusqu'en 1849. LES MONUMENTS NapolĂ©on entra dans la lignĂ©e des grands bĂątisseurs, en arrangeant certains monuments Ă  son idĂ©e. Bien qu'il n'y habita que trĂšs peu, l'Empereur a rĂ©amĂ©nagĂ© la partie Sud du Louvre, que l'on appelle d'ailleurs "Aile NapolĂ©on", et a transformĂ© le palais en musĂ©e oĂč il exposait les butins des campagnes. NapolĂ©on a Ă©galement fait restaurer et agrandir les chĂąteaux de la Malmaison Rambouillet, Fontainebleau, Versailles et NapolĂ©on a, tout au long de son rĂšgne, favorisĂ© cette branche de l'Ă©conomie qui avait beaucoup souffert de la RĂ©volution. De nouvelles techniques furent trouvĂ©, et les agriculteurs mirent Ă  contribution la grande fertilitĂ© du sol français ; tout ce bon travail ajoutĂ© au climat dans l'ensemble favorable ont redonnĂ© de l'Ă©clat Ă  l'agriculture française. RĂ©sultat, la production agricole a augmentĂ© de 48% de 1789 Ă  1815. Plusieurs types de cultures se sont perfectionnĂ©s, comme la vigne, les fruits et les cĂ©rĂ©ales. L'Ă©levage des bĂȘtes s'est fait plus consciencieusement. Les productions de ver Ă  soie, du lin et du chanvre se sont beaucoup dĂ©veloppĂ©s. Et pour la petite histoire, c'est en 1812 que la culture des betteraves fut introduit en France. LA CHIMIE On note, pour cette industrie vĂ©ritablement en phase de mutation et de grand dĂ©veloppement, la crĂ©ation de l'usine de Javel l'eau de Javel fut inventĂ©e dans cette entreprise et de l'usine du Gros-Caillou, toutes deux Ă  Paris. LA SIDERURGIE Les forges notamment celles de Wendel et Hayange se sont beaucoup dĂ©veloppĂ©es grĂące Ă  l'industrie de l'armement, elles utilisent encore le bois comme combustible. La France a produit de 1789 Ă  1815 720 millions de tonnes de fer, qui ont servit notamment Ă  crĂ©er 2900 canons et un peu plus de 5 millions de fusils-baĂŻonettes. Pour une autre anecdote, ce sont les Peugeot de MontbĂ©liard, devenu français en 1790, qui ont rĂ©volutionnĂ© le monde de la sidĂ©rurgie et créé une confĂ©dĂ©ration de rassemblement, "l'Industrie de l'acier". Aujourd'hui, ils sont spĂ©cialisĂ©s dans un autre secteur trĂšs connu... LE TEXTILE Le textile a beaucoup fonctionnĂ© sous l'Empire, favorisĂ© par la mode "style NapolĂ©on" et surtout la confection des habits militaires et des drapeaux des rĂ©giments français. A Paris, Lille, Roubaix, Turcoing, Mulhouse et Rouen, les filatures de coton se sont extrĂȘmement dĂ©veloppĂ©es. Le secteur de la laine a aussi trĂšs bien marchĂ© car les hivers de 1800, 1804, 1805 et 1811 ont Ă©tĂ© particuliĂšrement rudes ; Ă©galement, l'Ă©quipement militaire nĂ©cessaire pour les campagnes de 1805, 1807, 1809 et surtout 1812, oĂč la Grande ArmĂ©e s'est rendue souvent en Russie et en Autriche orientale. INSTITUTION NapolĂ©on a rĂ©tabli les corps centralisĂ©s de la monarchie enregistrement, domaines, impĂŽts directs, hypothĂšques, caisses d'escompte, postes, eaux et forĂȘts, haras, Ă©coles vĂ©tĂ©rinaires, archives, cartographie, poudres et 6 classes de charges vĂ©nales notaires, avouĂ©s, greffiers, courtiers, huissiers et agents de change ; il a créé surtout pendant le Consulat des organismes nĂ©cessaires Ă  un Etat centralisĂ© administrations, prĂ©fectures, municipalitĂ©s ; ainsi que Conseil d'État, Cour des comptes, Corps lĂ©gislatif et SĂ©nat, Code civil avec tribunaux hiĂ©rarchisĂ©s, Banque de France et Institut de France.

aimer c est du désordre alors aimons